23 août 2011

TRISTES TROPIQUES part 2. Continuous improvement is EVERYTHING


Maintaining a TEAM South of Rio Grande is to deal every day with Jean Baudrillard’s description. I fought all my life again this description. I failed so many times because changing is a key factor in this process.  I am still fighting in a city well-known for being squatted by the APPO during 6 months (2006).I fight daily the people’s suicidal mode of not changing, not learning, not thinking while still paying the historical heritage of being lazy and ‘’berrinchudos.’’ 

OUR TEAM today is trying to write its own history, making change and reflection, options.

Making GOOD TO GREAT a reality, as Wayne Goldsmith writes, because:

CHANGE IS CRITICAL

ALL CHANGE IS PERSONAL…. Accelerate your rate of change faster than your opposition.

The difference between good and great is simple. IT’S ABOUT DOING MORE-MORE OFTEN. The great ones do more than they asked, as my friend Glenn says, do what the coach asks you and always something more.

Finally from good to GREAT: CONTINUOUS IMPROVEMENT IS EVERYTHING

Cool Memories from Baudrillard for the readers who do not know his writing:

‘’Au sud du Rio Grande, une fois passée la frontière des Etats-Unis, c’est la malédiction qui commence. Tout le continent sud-américain vit encore à l`heure de l’immolation des empires qui s’effondrèrent á l’arrivée des Espagnols et des Portugais, et qui n’en finiront jamais de s’effondrer. …
Personne n’espère réellement s’en sortir. Peut-être n’y a-t’il jamais eu de velléité d’en sortir, de s’arracher la scène primitive, sauf dans une mince couche, intellectuelle et politique, épiphénoménale. Même lá les comportements sont problématiques. On projette tout selon les normes modernes (plan, programme, organization), puis au moment psychologique, on se désintéresse du résultat. C’est comme si on faisait la preuve de ce qu’il faut faire, mais sans volonté de résolution. Bien sûr les choses tournent alors plutôt mal, mais ne croyez pas qu’ils en soient malheureux, car cela ne fait que vérifier l’impossibilité de s’en sortir
Tel qu’il l’est le pays est sans doute voué à perpétuer joyeusement le sacrifice, l’immolation, le canibalisme ritual de toutes ses richesses. Pourquoi pas?
Résultat incohérent: on avance, on fonce droit devant, puis on retombe opinément, fatalement, dans le cycle de la lenteur, on est repris par le virus léthargique de la paresse. Si on désinvestit le résultat de l’action, ce n’est pas qu’on manque de détermination ou d´énergie, c’est qu’une part de cette énergie reste prise dans le cycle antérieur auquel on reste fidèle. Rien n’est destiné à aller droit au but, nul ne peut prétendre mener une opération à son terme. La fin, le reste, le dénouement doivent être laissés au hazard, au diable, à la fatalité. Prétendre contrôler cette part du feu, cette part maudite, en assumer LA RESPONSABILITÉ est proprement absurde et sacrilège. C’est le cycle qui commande…. Cette part énigmatique qui fait échec à tout projet et commande de laisser à toute chose une chance de ne pas réussir.

1 commentaire:

  1. Que verguenza que los años pasen y las cosas sigan igual o peor mas bien. At least we are trying to live differently.

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